Le saviez-vous ? La peau constitue en poids, en surface et en volume, notre plus gros organe : son poids représente 18% de la masse corporelle.
Ce qui la démarque le plus de toute autre partie du corps est la multiplicité de ses fonctions : contenance et maintenance, communication, individuation, régénération…
Bien plus qu’une simple enveloppe, notre peau est à la fois une frontière qui protège, et un relais qui transmet, ou plus exactement une interface entre le dedans et le dehors.
Imperméable, elle se laisse traverser.
En cela, et au-delà d’un simple geste, le toucher parle aussi au monde intérieur de chacun d’entre nous.
Noël approche… Un bon cadeau pour une séance de shiatsu ou de massage bien-être pourrait être une bonne idée ! Plus d’infos
La lumière décroit et nous rentrons dans la saison sombre. Les Celtes fêtent ce passage et le symbolisent à la Samain, qui correspond à Halloween et à la Toussaint.
Mais les jours courts et les nuits longues annoncent aussi le retour de la lumière. Chaque part de lumière contient son potentiel de nuit et la nuit tient la promesse du futur soleil.
Selon les principes du Tao, tout ce qui existe dans l’univers est en mouvement constant. Alors que le mouvement se poursuit, chacune des forces se transforme progressivement en l’autre, du Yin vers le Yang et inversement.
Yin et Yang, opposés et complémentaires, sont fondamentaux dans la pratique du shiatsu.
À la fin du XIXe siècle, au Japon, de nombreuses techniques manuelles coexistaient sous différentes appellations. Le terme « shiatsu » a été utilisé pour la première fois en 1920.
La pratique du shiatsu s’est ensuite diffusée à travers différents enseignants qui ont perfectionné le shiatsu en fonction de leur propre expérience. C’est ainsi que plusieurs styles sont nés avec des orientations différentes (traditionnelles, énergétiques, intégration de techniques d’ostéopathie ou de chiropractie importées de l’Occident, etc.)
La première clinique utilisant des protocoles de shiatsu fut ouverte à Muroran (Hokkaido) dès 1925 par Tokujirō Namikoshi, l’un des précurseurs du shiatsu.
En 1955, il obtient pour son école, la licence officielle du ministère de la Santé et du Bien-être japonais. Le shiatsu bénéficie alors d’une grande notoriété.
Le Shiatsu joue dans le domaine de la santé japonaise un rôle comparable et complémentaire à ceux de la Kinésithérapie en France, des Heilpraktiker en Allemagne ou de l’Ostéopathie aux USA.
En Europe, le Parlement européen reconnaît le shiatsu comme une médecine complémentaire digne d’intérêt et invite les États membres à les intégrer. Le shiatsu est ainsi reconnu en Autriche et en Suisse, notamment. En France, l’État reconnaît le titre professionnel de « spécialiste en shiatsu » depuis 2015.
Selon la tradition chinoise, au printemps, les souffles du Ciel et de la Terre s’unissent à nouveau, animant toute forme de vie d’un souffle ascensionnel. Cela est relié à une véritable force créatrice. La nature connaît une poussée ascensionnelle vers la lumière. Tout le règne végétal et animal connait un éveil brusque et puissant. L’homme est bien sûr également concerné par ce mouvement. Il s’éveille, ressent le besoin de faire peau neuve, de sortir de la torpeur de l’hiver. Le corps s’étire et se déploie.
L’énergie du printemps nourrit de manière privilégiée le foie et la vésicule biliaire. L’élasticité et la vigueur musculaire et tendineuse dépendent du bon fonctionnement de ces organes. Mais l’inverse est vrai également. Une activité physique privilégiant les étirements musculaires permettra à l’énergie du foie de bien circuler.
Le travail musculaire va permettre de « rincer » l’organisme qui va ainsi se débarrasser des toxines accumulées pendant l’hiver.
Opter pour une cure de massages drainants à cette période de l’année contribuera grandement à ce nettoyage dont le corps a besoin après l’hiver.
L’hiver, selon la médecine traditionnelle chinoise, a débuté dans les premiers jours de novembre et se termine vers le 17 janvier, pour laisser la place à une intersaison, avant que le printemps ne prenne sa place.
Parmi les 5 éléments qui caractérisent, avec le Yin et le Yang, la médecine traditionnelle chinoise, c’est l’Eau qui est associée à l’hiver.
C’est le moment le plus Yin de l’année, le moment où la nature est repliée sur elle-même, avant la renaissance du printemps. La nature sommeille, pour s’adapter au froid et l’absence de lumière. Elle fonctionne au ralenti pour préserver au maximum son énergie.
Dans le cycle des 5 éléments, l’Eau est au commencement, elle est la base même des autres éléments. Reins et Vessie sont les organes qui lui sont associés.
L’hiver doit nous amener à prendre des moments de repos, de calme. Il nous invite à faire des bilans, à nous ressourcer pour conserver l’énergie. L’Eau est propice aux introspections, aux rêves, au travail sur la lignée.
Un massage relaxant pour vous apaiser et vous ressourcer ou une séance de shiatsu pour contribuer à renforcer votre énergie des Reins seront les bienvenus.
La nature s’endort à la surface du sol. Les animaux limitent leurs activités et leurs besoins. Il est nécessaire, pour nous aussi, de nous reposer, même si nos activités professionnelles ne nous permettent pas la plupart du temps d’hiberner ! Alors aménageons notre quotidien autant que possible.
Le froid nous invite à savourer le confort des maisons plus que les activités extérieures. Ne cherchons pas à tout prix à sortir et à voir du monde. L’introversion est plutôt de circonstance à cette période de l’année. Inactivité, flâneries et rêveries sont les bienvenues !
La 26ème édition du Pont du Rock s’est refermée et j’ai pu encore cette année, avec beaucoup de plaisir, intervenir sur les 2 jours pour soulager les artistes et leurs équipes ou leur apporter un moment de bien-être. Avec toujours le même constat : les musiciens sont particulièrement à l’écoute de leur corps, ce qui n’est pas surprenant, mais est bien sûr très intéressant !
Merci à tous ceux qui m’ont fait confiance, avant ou après leur présence sur scène : Deluxe, Mass Hysteria, Raphaël de Feu! Chatterton et bien d’autres…
La tradition chinoise nous dit qu’au printemps, les souffles du Ciel et de la Terre s’unissent à nouveau, animant toute forme de vie d’un souffle yang ascensionnel.
Le Bois présente les caractéristiques du printemps, à travers l’image de l’arbre et de tous les végétaux, auxquels sont associées souplesse et croissance ascensionnelle.
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Nous pouvons observer dans la nature cette poussée ascensionnelle vers la lumière, cet éveil puissant de tout le règne animal et végétal.
L’homme au printemps s’éveille lui aussi. Il fait peau neuve. L’organe concerné par cette forte activité est le foie. La vésicule biliaire est également liée à l’élément Bois.
Encore plus qu’aux autres saisons, la mobilité est indispensable au printemps. Le mouvement, le travail musculaire permettent entre autres un rinçage de l’organisme, afin de se débarrasser des toxines accumulées pendant l’hiver.
Respirer est si naturel qu’on l’oublie trop souvent. Pourtant la respiration joue un grand rôle sur notre santé mentale et physique.
Ainsi une séance de respiration contrôlée avant des événements stressants ou générateurs d’anxiété permet de réduire considérablement le stress, et même, dans une certaine mesure, la dépression.
La respiration est bien sûr essentielle à la vie. L’inspiration permet de faire entrer de l’oxygène dans notre sang, tandis que l’expiration permet d’éliminer des déchets.
Une respiration profonde, pratiquée plusieurs fois par jour, permet une meilleure circulation sanguine, ce qui permet aux os et aux muscles d’absorber plus d’éléments nutritifs. Cela permet également de réduire le stress, ou encore la douleur ressentie.
Le shinsoku shiatsu que je pratique, ou shiatsu du souffle profond, est comme son nom l’indique basé notamment sur la respiration profonde du patient. Egalement, bien des gestes pratiqués lors d’une séance de massage relaxant intègrent et s’adaptent à la respiration de la personne massée.